Interférence

Interférence

Mercredi 5 Avril 2017

Je vous fais part d’un complément d’information sur la conférence vidéo dont le sujet expose le sens ésotérique et métapsychologique sur la nature de « l’interférence », ainsi que d’autres sujets comportementaux qui affectent la formation d’un réseau d’interférence.

Pour ceux qui n’ont pas visionné la vidéo voir ce lien: https://conscienceplus.com/blog/2017/03/26/interference-dans-votre-vie/

L’interférence est une superposition de mouvements vibratoires qui, selon qu’ils sont en phase ou en opposition de phase, s’amplifient ou se contrecarrent. Dans cette explication on comprend que l’interférence est un amalgame de situations non désirées qui s’entrechoquent en dehors de la volonté d’agir dans un sens bien précis, où les évènements viennent faire distorsion avec la nature de la détermination de vouloir accomplir une tâche de routine qui normalement devrait se réaliser, si bien que ça provoque une bavure, et que dans le monde des apparence qu’est notre réalité 3D cela se traduit par une crise de colère.

Ce qui nous importe le plus c’est ce qui est sous-jacent aux apparences, dont toute l’importance de connaître, non pas pour évité l’interférence, mais tout au moins apprendre à relativiser en s’arrêtant pour éviter de se mettre en colère. Le bruit mental est un écho d’un amas de mots biscornus et parfois vulgaires qui repassent en boucles dans le fil de nos pensés qui sont en relation avec une accumulation de frustrations inconsciente qui provient de notre subconscient, dont la naissance de l’interférence provient des boucles qui entrent en opposition de phase, donc en conflits d’intérêts sur des incohérences propres aux résistances de l’ego qui se fruste parce qu’il ne contrôle pas la situation. Autrement dit, le bruit mental est une poubelle de toutes nos frustrations qui entrent en conflit avec nos projets, et ce n’est pas la peine de s’en prendre à notre subconscient par que lui est en accord à notre inconscient qui est notre âme pour que nous en arrivions à régler nos problèmes internes pour que tout puisse bien fonctionner à l’externe, c’est-à-dire dans notre vie au quotidien.


Dans la vie, nous accumulons du vécu, parfois on aime, parfois on perd, parfois on regrette, parfois on a mal, de temps à autre on se fait confiance, on fait bien sûr des erreurs, on pardonne et on pardonne et en suite on abandonne et c’est la preuve qu’on n’est pas parfait. Mais avant tout, il est capital de savoir philosopher ou de relativiser pour APPRENDRE le sens des vraies choses et de la vie qui se cachent derrière les apparences de nos comportements, afin de traduire ce qui se passe réellement en nous et enfin découvrir par la même occasion qui nous sommes réellement.

Ce qui est bien est qu’au fur et à mesure que nous nous engageons dans la vie, nous apprenons nos leçons de vie qui nous enseigne à faire des expériences plutôt que des erreurs, et que lorsque nous ne comprenons pas que nos erreurs sont des expériences, la vie commence à être une vinaigrette sophistiquée d’erreurs et de frustrations qui vont faire partie de l’arsenal de notre bruit mental, et de là on ne tire pas le bénéfice d’un enseignement de sagesse. Car lorsqu’on est frustré on voit bien que ce que l’on veut bien voir en traduisant banalement qu’on ne fait que des erreurs et de là découlera des comportements d’une victime qui va nécessairement opter dans un style vie de frustrations et de la victimisation; où les erreurs vont toujours s’enchaîner pour s’accumuler en bruit mental. Le fait de dire qu’on fait des erreurs est la première erreur à ne pas faire, parce que se sont des expériences et rien d’autre, et si on ne comprend pas ça dès le départ, les erreurs s’enchaînent pour produire du bruit mental et la vie que vous allez avoir est la version négative qui se fait uniquement sur le choix des mots « erreur » plutôt que le mot « expérience ». Si vous ne changez pas la formule des mots négatifs en mots positifs, c’est alors que les interférences prennent place dans votre vie pour exposer un panorama qui collera très bien à votre peau parce que vous faites des choix sur des mots à teneurs négatives… Ce genre d’interprétation devient alors la source même de l’interférence qui prend racine dans nos convictions pour traduire peu à peu ; que la vie est un enfer. Car c’est ici qu’il faut apprendre à relativiser pour inverser le processus est d’amener nos erreurs dans le chapitre des expériences positives qui nous enseignent des leçons de vie, plutôt que de subir la version négative.

Pour mieux vous faire comprendre la teneur des mots négatifs qu’on utilise couramment au Québec, où l’on parle à la négation, mais ne prenez pas ça pour une critique de ma part, mais plutôt un constat qui j’espère pourra vous aider à mieux comprendre comment on programme sa vie avec des maux dans les mots, et que sachant désormais où se situe le problème du bruit mental que vous allez pouvoir y remédier. Exemple :

Je ne t’haïs pas. Plutôt que de dire, je t’aime bien.
C’est pas pire. Plutôt que de dire, c’est correct, ou c’est bien.
C’est pas mal. Plutôt que de dire, c’est bien.
C’est écœurant. Plutôt que de dire, c’est très bon.
Ça va mal. Plutôt que de dire, ça va bien.

Il y en a bien d’autres expressions du genre qui circulent dans les conversations.

Il faut que je vous partage quelque chose qui m’est arrivé au début que je suis arrivé au Québec comme immigrant reçu. J’étais au travail comme tout le monde et j’avais remarqué en écoutant les gens parler autour de moi, dont au moins une fois par semaine j’attendais toujours la même expression québécoise : « Je suis né pour un petit pain ». À la longue ça commencé sérieusement à m’agacer et le temps arriva où un jour on se retrouvés dans le réfectoire à une bonne dizaine de gars et quelqu’un dit : « Je suis né pour un petit pain » et ça sorti automatiquement de ma bouche à une vitesse accélérée : « Et les Anglais pour la boulangerie », et il y eu un silence inconfortable dans la pièce de 5 à 6 secondes. Disons que ce jour-là je ne me suis pas fait jeter dehors, mais disons que je ne me suis pas fait beaucoup d’amies. Mais après cette journée je l’entendais de moins en moins sur le chantier et je me suis dit que c’est peut-être une coïncidence et à l’heure actuelle cette expression n’est plus captée par mes oreilles, où alors je l’ai complètement occulté de mes oreilles, ou elle est peut-être bien complètement disparue du langage commun des Québécoises et des Québécois, et si c’est bien ça c’est tout de même un plus pour tout le monde. J’ai essayé de comprendre par la suite, pourquoi j’avais réagi de cette manière où mes paroles sont sorties de ma bouche à une vitesse supersonique. C’est par déformation que sachant que dans l’histoire de France et de l’Angleterre, Français et Anglais se détestaient comme chats et chiens, et qu’en en arrivant au Québec en 1977 qu’il y avait un climat d’indépendance assez tendu entre René Lévesque et Pierre-Eliott Trudeau. Que je voyais ça comme un vrai conflit que je pouvais discerner dans certaines discutions sur le sujet de l’indépendance, et que le niveau verbal sur le plan politique entre les francophones et les anglophones était parfois très corsé et à ce temps je prenais mes distances pour éviter l’interférer. Car pour moi qui venais de la France j’avais remarqué que le modèle psychologique francophone et anglophone de l’ancienne France avait été réellement transplanté en Nouvelle-France (Québec), que c’était une déformation de ma part suite à ce constat où j’étais irrité de cette expression, et que ça sorti tout seul de ma bouche.

Depuis ce temps je sais que parler à la négation c’est une façon d’exprimer des frustrations qui peuvent être personnelles ou culturelles, mais qui de toute façon ça serait bien d’en prendre conscience, afin d’APPRENDRE à dépolariser le côté négatif pour passer à la version positive « au temps présent ». Car les frustrations sont toujours un écho du passé qui revient en surface sans prévenir parce que ce sont des expériences qui ont été mal digérées émotivement par notre ego qui lui a toujours tendance à résister, et que cela est une interférence qui fait toujours réagir l’entourage.

Dans la réalité métapsychologique, nous vivons tous simultanément ensemble l’aventure de l’ego qui classifie ses expériences de manière dualiste pour ne percevoir que des erreurs en potentiels, où l’ego livre un combat de frustrations contre son âme sans prendre conscience qu’il se mutile pour se disqualifier de son accession à sa propre souveraineté, dont son arme est basée que sur la résistance de ne jamais céder la moindre parcelle de terrain à son âme. Parce que sa raison lui fait croire qu’il a son libre arbitre lorsqu’il s’exprime avec ses frustrations en interprétant ses expériences en erreurs où il polarise dans le mauvais sens, pour ainsi s’en prendre à tout ce qui résonne de positif autour de lui. Culturellement, il existe une force psychique et occulte qui est devenue un acquis social qui persiste et dont nous avons hérité deux dogmes antagonistes qui entretiennent ensemble une puissante dualité ; 1) la religion et 2) la science orthodoxe qui jadis a été très mal traitée par le tribunal de l’Inquisition…, si bien qu’elle a enregistré une subtile rancune contre l’Église romaine et tout ce qui est ésotérique. Le problème de la science académique est qu’elle rejette systématiquement tout ce qu’elle considère être irrationnel, irrecevable, inacceptable et comme elle ne veut pas faire la démonstration ouverte qu’elle s’en prend directement à l’Église, elle s’en prend alors indirectement à tout ce qui est ésotérique pour arriver à discréditer tout ce que nous nommons en dehors de leurs compétences académiques en faisant des amalgames avec les mythes, les légendes, les superstitions, le paranormal et les prophéties.

Cependant, de par ce comportement, la science académique est devenue un dogme de croyance sans même s’en apercevoir, et ceci, au même titre que la religion, et que cela a enregistré dans l’histoire occulte une profonde rancune pour finalement projeter en elle-même ce qu’elle a rejeté de la religion pour garder une très profonde rancune envers l’Église qui remonte à l’époque du tribunal de l’Inquisition. En métapsychologie on reconnaît que nous projetons toujours dans notre personnalité tout ce que nous rejetons des autres, et c’est pour cette raison qu’on dit que les autres sont notre propre miroir, que l’on ne voit jamais la poutre qu’on a dans l’œil. L’intelligence telle qu’on l’interprète n’a rien à voir avec les connaissances scientifiques. La vraie intelligence est celle du cœur, ce qui signifie que l’intelligence sans amour n’est que ruse et désolation, dont la ruse fait interférence partout dans notre monde. Si vous préféré, la ruse c’est de la frustration déguisée en intelligence qui est le propre des psychopathes qui dirigent le monde. Là où il y a de la ruse, il y a forcément de l’hommerie qui utilise la stratégie du mensonge pour rendre secret certaines informations que le public ne doit pas savoir, et de là c’est de l’occultation, et en d’autres maux/mots c’est de l’interférence pure et dure qui se joue en coulisse dont l’origine remonte directement à des frustrations ancestrales. Autrement dit, il y a de l’interférence qui est involontaire de notre part, mais il existe aussi de l’interférence qui est contrôlée volontairement pour induire les gens en erreur en faussant les informations que nous recevons des médiats où la volonté occulte vient directement du haut de la pyramide du pouvoir. De ce fait, il existe culturellement un paradoxe bien acquis qui s’exprime implicitement et subliminalement entre les deux champs d’influences dogmatiques qui polarisent la population. Qui représente une certaine animosité par le caractère du rationalisme en excès, du matérialisme à outrance, du scepticisme, et de l’athéisme où les médiats se mettent de la partie pour ridiculiser la religion et l’ésotérisme afin de se donner de l’importance et de renforcer ainsi leurs bases et de garder ainsi le contrôle sur les masses. Mais que bien sûr personne ne voit clairement que culturellement le champ passif de l’action de l’âme existe bien derrière l’ego qui résiste et que c’est la population qui est prise en otage et ne sachant pas qu’elle y participe simplement par son état d’ignorance.

C’est en étudiant un grand nombre de disciplines « dites occultes » et de systèmes de contrôles de masses, que j’en suis arrivé à comprendre que l’âme n’attend que le bon moment pour répondre à nos besoins spirituels qui sont les plus essentiels parce qu’ils concernent l’Éternité. Alors que l’ego qui ne comprend rien en se laissant contrôlé par le rationalisme unidirectionnel fait tout le contraire, en ayant que des désirs de vouloir acquérir des tas de choses matérielles alors qu’il sait très bien qu’il n’emportera rien avec lui de l’autre côté. Ce qui signifie que dans notre grande société occidentale s’exerce la dualité à l’extrême dont toutes nos leçons de vies sont focalisées entre le choix de désirer des choses ou alors donner plus d’importance à nos besoins spirituels avec strictement l’essentiel de base pour subsister. Que nécessairement notre âme qui est la plus grande partie de nous en nous, dont nous sommes totalement inconscients de son existence, et que lorsque nous traversons des épreuves on ne comprend pas que c’est parce que notre ego ne veut pas écouter le vrai bon sent des choses, en résistant à ce que notre âme veut l’amener à comprendre. Dans son obstination l’ego se met ouvertement en conflit avec son âme et ce qu’il reçoit c’est du bruit mental dont il est le seul responsable. La souffrance qui en ressort de cette résistance devient un matériel d’interférence qui mobilise toute notre énergie vitale, si bien que nous optons systématiquement à être un fidèle bien intégré à la conscience séparatrice pour se faire croire qu’on est une victime du système. Alors que dans la réalité c’est le système de pensée séparateur qui nous dit implicitement comment nous devons penser le monde, nous faisant croire que c’est nous qui pensons en nous.

En d’autres mots/maux, les épreuves que nous vivons sont égales au combat de résistances que notre ego livre à notre âme, et que lorsque nous sommes dans le creux de la vague ce n’est pas le moment de faire une rétrospective sur le passé, parce que le bruit mental va s’accumuler. Et que si l’on veut s’obstiner avec notre âme, avec toujours plus de conviction, nous ressentons certains effets négatifs dus à la résistance, où cela se traduit par la douleur psychique et physique. Autrement dit, tout le désordre que nous constatons au niveau social, politique et économique de notre monde n’est que le reflet d’un combat que livre notre raison avec la participation de notre ego qui n’a pas tous les paramètres pour comprendre au-delà des apparences. Finalement, ça ne sert à rien de chercher des coupables à l’extérieur, parce que nous manquons d’informations pour élargir notre champ de perception qui est au-delà de nos cinq sens, et que notre âme est en réalité notre sixième sens qui baigne dans la conscience unificatrice, et que forcément elle est beaucoup plus logique que la petite logique de l’ego qui est prisonnier des limites qu’il s’impose en croyant à des notions strictement matérialistes. Il faudrait apprendre à se mettre à la place de notre âme pour commencer à essayer de percevoir l’idée d’un autre paradigme que nous devrions développer ensemble dans notre imaginaire collectif pour le l’énergie de notre planète puisse changer. La perception de notre âme est en relation directe avec la mémoire akashique, qui en d’autres mots est la dimension causale, ou alors la quatrième dimension qui sont trois appellations qui s’accordent pour dire la même chose. En étant tout déchristianisés, on a tellement écarté le vocabulaire de la religion que Dieu et l’âme sont sortis de notre vocabulaire commun où systématiquement nous avons occulté la dimension causale dans l’ésotérisme et dans la métaphysique, parce qu’on jeté le bébé avec l’eau du bain. Et ça, c’est un signe de frustration qui fait interférence dans nos discours lorsqu’on entant sacrer les gens en blasphémant.

Nous sommes venus sur Terre avec une mission que nous avons tous oubliée, afin de tenter d’entrer en contact avec notre âme pour qu’elle puisse répondre à nos besoins spirituels, ceci sans combattre qui ou quoi que se soit, parce que c’est sans violence que nous devrons grandir dans la conscience unificatrice, sans que nous ne puissions être traumatisés pour autant. Simplement, pour que cet état de non-violence puisse nous habiter en nous réconciliant avec notre âme afin de commencer graduellement notre fusion ascensionnelle ici sur Terre avant même de passer de l’autre côté, et ainsi devenir UN avec notre âme lorsque nous serons de l’autre côté. Ce point est très important, car notre cheminement personnel que nous avons entamé en explorant un certain nombre de connaissances qui se situent en dehors des sentiers battus sert à acquérir notre passeport vers la liberté qui est le contact avec l’autre monde que nous fabriquons ici bas avec les meilleures intentions. Une fois que nous comprenons ça, il nous reste qu’à apprendre à remercier toutes les personnes que nous avons rencontrées, et aussi toutes celles que nous allons rencontrées demain et après demain et durant tout le reste de notre Vie. Car toutes ces personnes ont participé à ce que nous soyons ce que nous sommes en ce moment même, ceci même si elles nous ont fait vivre de mauvaises expériences.

Car c’est toujours avec les deux côtés de la médaille de la dualité que l’âme nous enseigne les leçons que nous avons besoin d’expérimenter. Le but de notre âme est de nous amener des épreuves pour que nous puissions reconnaître de l’intérieur qui nous sommes réellement, ceci en nous mettant devant les faits accomplis afin que nous puissions réaliser pourquoi nous réagissons de tette manière, pourquoi nous communiquons avec autrui de tette manière, et pourquoi nous agissons de telle manière. Ceci pour nous ayons des prises de conscience pour réaliser que nous sommes bien plus grands de ce que notre système de pensé nous dit subjectivement de croire des mensonges qui au bout du compte sont sensés de nous inférioriser afin de nous limiter et d’être des individus contrôlables. Parce que notre âme veut nous faire réaliser que nous sommes sensés créer à partir de notre imaginaire mature qui est le fruit de tout notre savoir-faire, dont la grande majorité des gens ignorent tout parce que nous avons fait continuellement et naïvement des actes de foi sur des demi-vérités.

Joël Droulez

Merci à tous pour vos témoignages d’appréciation.

Merci à tous pour vos témoignages d’appréciation.

Wow, un gros merci à vous tous. Je suis étonné de la générosité de plusieurs d’entre-vous qui avez partagé à vos amis facebook et qui a permit de faire connaître la première vidéo de Conscience Plus. La réponse à été extraordinaire et les commentaires m’ont vraiment touchés.

Si vous désirez vraiment m’aider, inscrivez vous sur ma chaîne Youtube et sur mon facebook si ce n’est pas encore fait.

Je vous fais donc parvenir ma petite vidéo de remerciement.

Un commencement est un moment d’une délicatesse extrême!

Un commencement est un moment d’une délicatesse extrême!

Un commencement est un moment d’une délicatesse extrême!

Cette phrase fut prononcée dans l’introduction du film culte  » DUNE « , réalisé par David Lynch en 1984.

Vous pouvez entendre l’introduction du film en cliquant sur l’image ci-dessous.

Clique sur l’image pour entendre.

Nous voici au début d’une aventure dans le monde de la Conscience. Pour demeurer dans l’esprit de la citation, nous débuterons ce voyage avec délicatesse et progresserons peu à peu. Conscience + se veut être un point de ralliement, un outil de développement, d’intériorisation, une courroie de transmission, un lieu de partage d’un certain savoir, d’expériences vécues par moi-même et par d’autres. On y retrouvera des témoignages, des vidéos, de la formation, des échanges à plusieurs niveaux. J’y parlerai de conscience, de la conscience de soi, de sa provenance et des étapes permettant de mieux appréhender l’Univers et les mondes qu’il contient.

Nous sommes tous programmés, conditionnés, par notre éducation à la maison, par l’école, par les films et par tout ce que l’on peut entendre dans les médias et par le biais de propagandes de toutes sortes, alors ce qui importe c’est que nous développions notre discernement.

Une des méthodes employées par les manipulateurs de ce monde consiste à nous faire croire qu’un mensonge répété 100 fois devient une vérité. Cela peut berner les gens inconscients, mais pas ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre; ces derniers seront en mesure d’exercer leur discernement et ainsi ils pourront départager le vrai du faux.

Lorsque vous regardez le film « DUNE », l’information transmise vous touche profondément même si vous savez que cela n’est qu’un film et que c’est arrangé, le contenu de ce film vous éveille dans un certain sens. Ce n’est pas un hasard car il arrive parfois que les scénaristes transmettent de l’information sous le couvert de romans ou de films de science-fiction.  D’ailleurs, certains auteurs de romans tels que l’écrivain Jimmy Guieu l’ont bien compris.

Photo de Jimmy Guieu

Photo de Jimmy Guieu.

Il nous faut donc exercer notre discernement et afin de bien saisir la réalité de ce que l’on veut nous transmettre comme information. Comme nous n’avons pas toujours les références nécessaires, le meilleur moyen de pouvoir en discerner la réalité est d’échanger avec des gens qui vivent le même processus de recherche que nous. Il faudra éviter de nous laisser piéger par notre mental, car souvent nous avons eu la même éducation, la même culture et les mêmes valeurs ainsi il est facile de se laisser prendre par ces mêmes conditionnements.

Que doit-on faire pour développer ce discernement et l’élévation nécessaire qui nous servira à reconnaître la réalité? Ce n’est pas simple j’en conviens, car notre personnalité fait interférence, et notre astral ainsi que notre mental interviennent dans le processus de pensée.

Nous pouvons considérer l’astral comme un énorme fourre-tout. On y met toutes sortes de choses comprenant de bonnes et de mauvaises informations, de bonnes et de mauvaises expériences, notre éducation familiale, scolaire, régionale, culturelle, notre langue, la politique,  notre pays, notre religion et j’en passe, car il y a tellement de choses qui nous divisent et nous différencient que nous devons nous élever encore plus haut.

Bref, il nous manque un petit quelque chose vraiment en dehors de notre égo afin de pouvoir nous élever au-dessus de tout et avoir ce discernement. Tout cela n’est pas facile à acquérir car nous devons développer une vigilance afin d’être présents à la vie dans tous ses instants. Ceci est important, car si nous vivons dans le passé ou le futur, nous ne sommes pas dans le présent c’est-à-dire, ici maintenant.

Une piste nous est proposé.

Quelqu’un m’a semblé avoir trouvé une solution. Vous le connaissez peut-être, il s’agit de Bernard de Montréal, qui dans les années 80 a enseigné que le Supramental était au-dessus de l’astral et du mental, et par ce fait, il est détaché de l’égo humain et peut nous élever au-dessus de ces informations d’ordre culturel. Mais c’est quoi le Supramental de Bernard? Nous y reviendrons plus tard.

Plusieurs à l’époque ne comprenaient pas ce qu’il disait. Après avoir assisté à une conférence, il était difficile de se faire un résumé de ce qui avait été dit ou de se remémorer quel était le message principal de la conférence. Dans les faits, comme le disait Bernard, ce qui importe, c’est l’énergie que nous avons reçue au moment de son discours. Surtout, il disait qu’il ne venait pas enseigner à l’homme actuel, mais qu’il s’adressait directement à l’être et à l’homme du futur. Il disait vouloir rééduquer l’âme, car cette dernière avait été polluée, souillée et qu’un voile parfois épais l’empêchait d’avoir une connexion parfaite avec l’Être.

Photo Bernard de Montréal

Après des années de constatations et d’expériences, j’ai finalement réussi à faire un peu de lumière là-dessus. Je me souviens très bien du séminaire de fin de semaine que j’ai suivi avec lui pour nous faire comprendre le mécanisme de l’esprit humain. J’y ai vécu une fin de semaine extraordinaire qui m’a fait entrevoir ce qu’il voulait nous dire. Cette expérience et l’étude des mécanismes étudiés feront d’ailleurs partie des informations que je désire vous livrer au fil du temps. Pour ceux qui désireront en savoir plus, je vous proposerai un petit livre et plusieurs petites vidéos pouvant vous expliquer ce que les séminaristes y ont appris. Ce sera bien entendu dans un autre contexte que celui du domaine public, puisque ces informations n’intéressent pas tout le monde.

Cependant, après avoir appris les principes de base de la composition de l’esprit humain, après quelques exercices, vous saurez faire le discernement des informations reçues. Vous pourrez voir la manipulation parfois subtile, les intentions, les fausses bases de réflexions et ainsi vous pourrez soit adhérer ou non à ce qui est proposé en toute conscience. Il y a de bonnes intentions et de bonnes manipulations, mais c’est toujours extérieur à vous, c’est comme des marchandises que vous achetez et qui vont de l’intérêt de tous, mais surtout de celui qui produit la marchandise.

Revenons au film DUNE, il est fait mention dans le film que l’épice mélange, prolonge la longévité, accroit le champ de conscience et après une longue utilisation, il fait muter les utilisateurs,  leur permettant de voyager partout dans l’Univers et aussi d’absorber le gaz orange qui permet de replier l’espace-temps pour voyager sans se déplacer physiquement et qu’après des années de pratique, certains acquièrent des pouvoirs extraordinaires. Bien sûr, pour le film, l’épice est présente dans l’Univers que sur une seule planète, « DUNE ».

Quel est le sens de l’épice mélange? Après des discussions entre amis, l’un d’eux, Richard Glenn, nous dit que selon une source généralement bien informée, le romancier fait allusion à l’esprit. Épice = esprit

Alors, épice mélange est un amalgame des esprits permettant, comme les fourmis qui se connectent entre elles, de résoudre un problème. Ce serait donc la même chose au niveau de l’humain et de l’humanité permettant de créer une civilisation, de chasser le mammouth pour la nourriture, de faire de la pêche pour nourrir le village, etc. Imaginez l’humanité tout entière qui se réunirait pour résoudre une menace extérieure, par le simple fait de connecter nos esprits ensemble afin de trouver une solution à une grande catastrophe mondiale.

Pour la compréhension de tous, vous savez que nous sommes tous liés les uns les autres par l’esprit. Vous pouvez en douter, mais ce n’est pas grave, simplement, mettez cette information dans une partie de votre mémoire et un jour vous aurez la partie qui manque au casse-tête et qui reliera l’ensemble.

Selon ce que j’ai appris par l’intermédiaire de Bernard de Montréal, notre esprit est lié à celui des autres et sommes tous reliés ensemble par l’esprit commun à tous, que certains appelleraient le Créateur.

Alors, nous ferions tous partie de Dieu, mais contrairement à ce que pensent certains, nous ne sommes pas Dieu, lui-même indéfinissable, inatteignable, inqualifiable et innommable.

Cette particularité nous permettrait d’être en contact avec tout le monde. Cela se manifesterait par la télépathie, la grande empathie, la médiumnité, le charisme, le voyage astral, mais aussi le voyage éthérique et par l’ubiquité. Ultimement, notre conscience s’étendrait au voisin, à l’autre, l’animal, la matière. Nous sommes ici pour expérimenter. L’expérience acquise est conservée intégralement dans notre âme. Notre âme fait donc partie de notre subconscient, nous y avons accès par des moyens que nous avons pu expérimenter.

Il y a des moyens qui nous permettent ainsi d’avoir accès à une partie de notre subconscient comme la régression hypnotique, ou d’autres techniques de régression telles que le Rebirth qui consistent à faire l’expérience de retrouver la mémoire antérieure ou de revivre la naissance. On pourrait ainsi revenir dans nos vies passées. Cependant, je me permets de me questionner, dans ces expériences, est-ce bien de nous qu’il s’agit ou si nous avons accès à une autre mémoire? Il y a possiblement un mélange des deux, comme preuve, les gens qui ont vécu l’expérience de mort imminente et qui en sont revenus, en se souvenant de leurs vies antérieures et certains médiums qui ont accès à la mémoire des défunts.

Difficile à dire, mais je sais personnellement que nous sommes vraiment liés ensemble pour l’avoir expérimenté par la télépathie, la télékinésie, le Supramental et cela par la technique qui nous a été expliquée par Bernard de Montréal, qui se fait en fonction de notre liaison de nos esprits par l’esprit commun.

Ceci m’amène à vous dire que je vous parlerai prochainement d’une expérience positive de contact extraterrestre, que Roger Larivière a eu le privilège de vivre. Vous pourrez voir une vidéo d’introduction que je mettrai en lien dans le prochain article et la première émission que je ferai sur le sujet, le 14 janvier 2017, et qui sera le début des émissions de ConsciencePlus.

Conclusion

Tel que le titre indique, je suis au début du projet avec vous. Ce projet est le fruit de prises de conscience que la vie m’apporte. Vous êtes probablement dans la même démarche que moi avec des prises de conscience dans des domaines différents. Nous sommes tous ici pour apprendre à se connecter avec notre esprit sans l’interférence de notre mental et notre astral. Nous irons ensemble, chercher les outils nécessaire pour arriver à notre but,  » DEVENIR SOUVERAIN  »

Je profite de ce moment pour vous souhaiter une excellente année 2017!

Denis Guy