Mercredi 5 Avril 2017

Je vous fais part d’un complément d’information sur la conférence vidéo dont le sujet expose le sens ésotérique et métapsychologique sur la nature de « l’interférence », ainsi que d’autres sujets comportementaux qui affectent la formation d’un réseau d’interférence.

Pour ceux qui n’ont pas visionné la vidéo voir ce lien: https://conscienceplus.com/blog/2017/03/26/interference-dans-votre-vie/

L’interférence est une superposition de mouvements vibratoires qui, selon qu’ils sont en phase ou en opposition de phase, s’amplifient ou se contrecarrent. Dans cette explication on comprend que l’interférence est un amalgame de situations non désirées qui s’entrechoquent en dehors de la volonté d’agir dans un sens bien précis, où les évènements viennent faire distorsion avec la nature de la détermination de vouloir accomplir une tâche de routine qui normalement devrait se réaliser, si bien que ça provoque une bavure, et que dans le monde des apparence qu’est notre réalité 3D cela se traduit par une crise de colère.

Ce qui nous importe le plus c’est ce qui est sous-jacent aux apparences, dont toute l’importance de connaître, non pas pour évité l’interférence, mais tout au moins apprendre à relativiser en s’arrêtant pour éviter de se mettre en colère. Le bruit mental est un écho d’un amas de mots biscornus et parfois vulgaires qui repassent en boucles dans le fil de nos pensés qui sont en relation avec une accumulation de frustrations inconsciente qui provient de notre subconscient, dont la naissance de l’interférence provient des boucles qui entrent en opposition de phase, donc en conflits d’intérêts sur des incohérences propres aux résistances de l’ego qui se fruste parce qu’il ne contrôle pas la situation. Autrement dit, le bruit mental est une poubelle de toutes nos frustrations qui entrent en conflit avec nos projets, et ce n’est pas la peine de s’en prendre à notre subconscient par que lui est en accord à notre inconscient qui est notre âme pour que nous en arrivions à régler nos problèmes internes pour que tout puisse bien fonctionner à l’externe, c’est-à-dire dans notre vie au quotidien.


Dans la vie, nous accumulons du vécu, parfois on aime, parfois on perd, parfois on regrette, parfois on a mal, de temps à autre on se fait confiance, on fait bien sûr des erreurs, on pardonne et on pardonne et en suite on abandonne et c’est la preuve qu’on n’est pas parfait. Mais avant tout, il est capital de savoir philosopher ou de relativiser pour APPRENDRE le sens des vraies choses et de la vie qui se cachent derrière les apparences de nos comportements, afin de traduire ce qui se passe réellement en nous et enfin découvrir par la même occasion qui nous sommes réellement.

Ce qui est bien est qu’au fur et à mesure que nous nous engageons dans la vie, nous apprenons nos leçons de vie qui nous enseigne à faire des expériences plutôt que des erreurs, et que lorsque nous ne comprenons pas que nos erreurs sont des expériences, la vie commence à être une vinaigrette sophistiquée d’erreurs et de frustrations qui vont faire partie de l’arsenal de notre bruit mental, et de là on ne tire pas le bénéfice d’un enseignement de sagesse. Car lorsqu’on est frustré on voit bien que ce que l’on veut bien voir en traduisant banalement qu’on ne fait que des erreurs et de là découlera des comportements d’une victime qui va nécessairement opter dans un style vie de frustrations et de la victimisation; où les erreurs vont toujours s’enchaîner pour s’accumuler en bruit mental. Le fait de dire qu’on fait des erreurs est la première erreur à ne pas faire, parce que se sont des expériences et rien d’autre, et si on ne comprend pas ça dès le départ, les erreurs s’enchaînent pour produire du bruit mental et la vie que vous allez avoir est la version négative qui se fait uniquement sur le choix des mots « erreur » plutôt que le mot « expérience ». Si vous ne changez pas la formule des mots négatifs en mots positifs, c’est alors que les interférences prennent place dans votre vie pour exposer un panorama qui collera très bien à votre peau parce que vous faites des choix sur des mots à teneurs négatives… Ce genre d’interprétation devient alors la source même de l’interférence qui prend racine dans nos convictions pour traduire peu à peu ; que la vie est un enfer. Car c’est ici qu’il faut apprendre à relativiser pour inverser le processus est d’amener nos erreurs dans le chapitre des expériences positives qui nous enseignent des leçons de vie, plutôt que de subir la version négative.

Pour mieux vous faire comprendre la teneur des mots négatifs qu’on utilise couramment au Québec, où l’on parle à la négation, mais ne prenez pas ça pour une critique de ma part, mais plutôt un constat qui j’espère pourra vous aider à mieux comprendre comment on programme sa vie avec des maux dans les mots, et que sachant désormais où se situe le problème du bruit mental que vous allez pouvoir y remédier. Exemple :

Je ne t’haïs pas. Plutôt que de dire, je t’aime bien.
C’est pas pire. Plutôt que de dire, c’est correct, ou c’est bien.
C’est pas mal. Plutôt que de dire, c’est bien.
C’est écœurant. Plutôt que de dire, c’est très bon.
Ça va mal. Plutôt que de dire, ça va bien.

Il y en a bien d’autres expressions du genre qui circulent dans les conversations.

Il faut que je vous partage quelque chose qui m’est arrivé au début que je suis arrivé au Québec comme immigrant reçu. J’étais au travail comme tout le monde et j’avais remarqué en écoutant les gens parler autour de moi, dont au moins une fois par semaine j’attendais toujours la même expression québécoise : « Je suis né pour un petit pain ». À la longue ça commencé sérieusement à m’agacer et le temps arriva où un jour on se retrouvés dans le réfectoire à une bonne dizaine de gars et quelqu’un dit : « Je suis né pour un petit pain » et ça sorti automatiquement de ma bouche à une vitesse accélérée : « Et les Anglais pour la boulangerie », et il y eu un silence inconfortable dans la pièce de 5 à 6 secondes. Disons que ce jour-là je ne me suis pas fait jeter dehors, mais disons que je ne me suis pas fait beaucoup d’amies. Mais après cette journée je l’entendais de moins en moins sur le chantier et je me suis dit que c’est peut-être une coïncidence et à l’heure actuelle cette expression n’est plus captée par mes oreilles, où alors je l’ai complètement occulté de mes oreilles, ou elle est peut-être bien complètement disparue du langage commun des Québécoises et des Québécois, et si c’est bien ça c’est tout de même un plus pour tout le monde. J’ai essayé de comprendre par la suite, pourquoi j’avais réagi de cette manière où mes paroles sont sorties de ma bouche à une vitesse supersonique. C’est par déformation que sachant que dans l’histoire de France et de l’Angleterre, Français et Anglais se détestaient comme chats et chiens, et qu’en en arrivant au Québec en 1977 qu’il y avait un climat d’indépendance assez tendu entre René Lévesque et Pierre-Eliott Trudeau. Que je voyais ça comme un vrai conflit que je pouvais discerner dans certaines discutions sur le sujet de l’indépendance, et que le niveau verbal sur le plan politique entre les francophones et les anglophones était parfois très corsé et à ce temps je prenais mes distances pour éviter l’interférer. Car pour moi qui venais de la France j’avais remarqué que le modèle psychologique francophone et anglophone de l’ancienne France avait été réellement transplanté en Nouvelle-France (Québec), que c’était une déformation de ma part suite à ce constat où j’étais irrité de cette expression, et que ça sorti tout seul de ma bouche.

Depuis ce temps je sais que parler à la négation c’est une façon d’exprimer des frustrations qui peuvent être personnelles ou culturelles, mais qui de toute façon ça serait bien d’en prendre conscience, afin d’APPRENDRE à dépolariser le côté négatif pour passer à la version positive « au temps présent ». Car les frustrations sont toujours un écho du passé qui revient en surface sans prévenir parce que ce sont des expériences qui ont été mal digérées émotivement par notre ego qui lui a toujours tendance à résister, et que cela est une interférence qui fait toujours réagir l’entourage.

Dans la réalité métapsychologique, nous vivons tous simultanément ensemble l’aventure de l’ego qui classifie ses expériences de manière dualiste pour ne percevoir que des erreurs en potentiels, où l’ego livre un combat de frustrations contre son âme sans prendre conscience qu’il se mutile pour se disqualifier de son accession à sa propre souveraineté, dont son arme est basée que sur la résistance de ne jamais céder la moindre parcelle de terrain à son âme. Parce que sa raison lui fait croire qu’il a son libre arbitre lorsqu’il s’exprime avec ses frustrations en interprétant ses expériences en erreurs où il polarise dans le mauvais sens, pour ainsi s’en prendre à tout ce qui résonne de positif autour de lui. Culturellement, il existe une force psychique et occulte qui est devenue un acquis social qui persiste et dont nous avons hérité deux dogmes antagonistes qui entretiennent ensemble une puissante dualité ; 1) la religion et 2) la science orthodoxe qui jadis a été très mal traitée par le tribunal de l’Inquisition…, si bien qu’elle a enregistré une subtile rancune contre l’Église romaine et tout ce qui est ésotérique. Le problème de la science académique est qu’elle rejette systématiquement tout ce qu’elle considère être irrationnel, irrecevable, inacceptable et comme elle ne veut pas faire la démonstration ouverte qu’elle s’en prend directement à l’Église, elle s’en prend alors indirectement à tout ce qui est ésotérique pour arriver à discréditer tout ce que nous nommons en dehors de leurs compétences académiques en faisant des amalgames avec les mythes, les légendes, les superstitions, le paranormal et les prophéties.

Cependant, de par ce comportement, la science académique est devenue un dogme de croyance sans même s’en apercevoir, et ceci, au même titre que la religion, et que cela a enregistré dans l’histoire occulte une profonde rancune pour finalement projeter en elle-même ce qu’elle a rejeté de la religion pour garder une très profonde rancune envers l’Église qui remonte à l’époque du tribunal de l’Inquisition. En métapsychologie on reconnaît que nous projetons toujours dans notre personnalité tout ce que nous rejetons des autres, et c’est pour cette raison qu’on dit que les autres sont notre propre miroir, que l’on ne voit jamais la poutre qu’on a dans l’œil. L’intelligence telle qu’on l’interprète n’a rien à voir avec les connaissances scientifiques. La vraie intelligence est celle du cœur, ce qui signifie que l’intelligence sans amour n’est que ruse et désolation, dont la ruse fait interférence partout dans notre monde. Si vous préféré, la ruse c’est de la frustration déguisée en intelligence qui est le propre des psychopathes qui dirigent le monde. Là où il y a de la ruse, il y a forcément de l’hommerie qui utilise la stratégie du mensonge pour rendre secret certaines informations que le public ne doit pas savoir, et de là c’est de l’occultation, et en d’autres maux/mots c’est de l’interférence pure et dure qui se joue en coulisse dont l’origine remonte directement à des frustrations ancestrales. Autrement dit, il y a de l’interférence qui est involontaire de notre part, mais il existe aussi de l’interférence qui est contrôlée volontairement pour induire les gens en erreur en faussant les informations que nous recevons des médiats où la volonté occulte vient directement du haut de la pyramide du pouvoir. De ce fait, il existe culturellement un paradoxe bien acquis qui s’exprime implicitement et subliminalement entre les deux champs d’influences dogmatiques qui polarisent la population. Qui représente une certaine animosité par le caractère du rationalisme en excès, du matérialisme à outrance, du scepticisme, et de l’athéisme où les médiats se mettent de la partie pour ridiculiser la religion et l’ésotérisme afin de se donner de l’importance et de renforcer ainsi leurs bases et de garder ainsi le contrôle sur les masses. Mais que bien sûr personne ne voit clairement que culturellement le champ passif de l’action de l’âme existe bien derrière l’ego qui résiste et que c’est la population qui est prise en otage et ne sachant pas qu’elle y participe simplement par son état d’ignorance.

C’est en étudiant un grand nombre de disciplines « dites occultes » et de systèmes de contrôles de masses, que j’en suis arrivé à comprendre que l’âme n’attend que le bon moment pour répondre à nos besoins spirituels qui sont les plus essentiels parce qu’ils concernent l’Éternité. Alors que l’ego qui ne comprend rien en se laissant contrôlé par le rationalisme unidirectionnel fait tout le contraire, en ayant que des désirs de vouloir acquérir des tas de choses matérielles alors qu’il sait très bien qu’il n’emportera rien avec lui de l’autre côté. Ce qui signifie que dans notre grande société occidentale s’exerce la dualité à l’extrême dont toutes nos leçons de vies sont focalisées entre le choix de désirer des choses ou alors donner plus d’importance à nos besoins spirituels avec strictement l’essentiel de base pour subsister. Que nécessairement notre âme qui est la plus grande partie de nous en nous, dont nous sommes totalement inconscients de son existence, et que lorsque nous traversons des épreuves on ne comprend pas que c’est parce que notre ego ne veut pas écouter le vrai bon sent des choses, en résistant à ce que notre âme veut l’amener à comprendre. Dans son obstination l’ego se met ouvertement en conflit avec son âme et ce qu’il reçoit c’est du bruit mental dont il est le seul responsable. La souffrance qui en ressort de cette résistance devient un matériel d’interférence qui mobilise toute notre énergie vitale, si bien que nous optons systématiquement à être un fidèle bien intégré à la conscience séparatrice pour se faire croire qu’on est une victime du système. Alors que dans la réalité c’est le système de pensée séparateur qui nous dit implicitement comment nous devons penser le monde, nous faisant croire que c’est nous qui pensons en nous.

En d’autres mots/maux, les épreuves que nous vivons sont égales au combat de résistances que notre ego livre à notre âme, et que lorsque nous sommes dans le creux de la vague ce n’est pas le moment de faire une rétrospective sur le passé, parce que le bruit mental va s’accumuler. Et que si l’on veut s’obstiner avec notre âme, avec toujours plus de conviction, nous ressentons certains effets négatifs dus à la résistance, où cela se traduit par la douleur psychique et physique. Autrement dit, tout le désordre que nous constatons au niveau social, politique et économique de notre monde n’est que le reflet d’un combat que livre notre raison avec la participation de notre ego qui n’a pas tous les paramètres pour comprendre au-delà des apparences. Finalement, ça ne sert à rien de chercher des coupables à l’extérieur, parce que nous manquons d’informations pour élargir notre champ de perception qui est au-delà de nos cinq sens, et que notre âme est en réalité notre sixième sens qui baigne dans la conscience unificatrice, et que forcément elle est beaucoup plus logique que la petite logique de l’ego qui est prisonnier des limites qu’il s’impose en croyant à des notions strictement matérialistes. Il faudrait apprendre à se mettre à la place de notre âme pour commencer à essayer de percevoir l’idée d’un autre paradigme que nous devrions développer ensemble dans notre imaginaire collectif pour le l’énergie de notre planète puisse changer. La perception de notre âme est en relation directe avec la mémoire akashique, qui en d’autres mots est la dimension causale, ou alors la quatrième dimension qui sont trois appellations qui s’accordent pour dire la même chose. En étant tout déchristianisés, on a tellement écarté le vocabulaire de la religion que Dieu et l’âme sont sortis de notre vocabulaire commun où systématiquement nous avons occulté la dimension causale dans l’ésotérisme et dans la métaphysique, parce qu’on jeté le bébé avec l’eau du bain. Et ça, c’est un signe de frustration qui fait interférence dans nos discours lorsqu’on entant sacrer les gens en blasphémant.

Nous sommes venus sur Terre avec une mission que nous avons tous oubliée, afin de tenter d’entrer en contact avec notre âme pour qu’elle puisse répondre à nos besoins spirituels, ceci sans combattre qui ou quoi que se soit, parce que c’est sans violence que nous devrons grandir dans la conscience unificatrice, sans que nous ne puissions être traumatisés pour autant. Simplement, pour que cet état de non-violence puisse nous habiter en nous réconciliant avec notre âme afin de commencer graduellement notre fusion ascensionnelle ici sur Terre avant même de passer de l’autre côté, et ainsi devenir UN avec notre âme lorsque nous serons de l’autre côté. Ce point est très important, car notre cheminement personnel que nous avons entamé en explorant un certain nombre de connaissances qui se situent en dehors des sentiers battus sert à acquérir notre passeport vers la liberté qui est le contact avec l’autre monde que nous fabriquons ici bas avec les meilleures intentions. Une fois que nous comprenons ça, il nous reste qu’à apprendre à remercier toutes les personnes que nous avons rencontrées, et aussi toutes celles que nous allons rencontrées demain et après demain et durant tout le reste de notre Vie. Car toutes ces personnes ont participé à ce que nous soyons ce que nous sommes en ce moment même, ceci même si elles nous ont fait vivre de mauvaises expériences.

Car c’est toujours avec les deux côtés de la médaille de la dualité que l’âme nous enseigne les leçons que nous avons besoin d’expérimenter. Le but de notre âme est de nous amener des épreuves pour que nous puissions reconnaître de l’intérieur qui nous sommes réellement, ceci en nous mettant devant les faits accomplis afin que nous puissions réaliser pourquoi nous réagissons de tette manière, pourquoi nous communiquons avec autrui de tette manière, et pourquoi nous agissons de telle manière. Ceci pour nous ayons des prises de conscience pour réaliser que nous sommes bien plus grands de ce que notre système de pensé nous dit subjectivement de croire des mensonges qui au bout du compte sont sensés de nous inférioriser afin de nous limiter et d’être des individus contrôlables. Parce que notre âme veut nous faire réaliser que nous sommes sensés créer à partir de notre imaginaire mature qui est le fruit de tout notre savoir-faire, dont la grande majorité des gens ignorent tout parce que nous avons fait continuellement et naïvement des actes de foi sur des demi-vérités.

Joël Droulez